Andi (elle) est une élève de 10^e année vivant dans le comté de Rocky View, en Alberta. Elle est passionnée par la sensibilisation à la santé mentale à travers les réseaux sociaux et la prise de parole en public, surtout dans un environnement scolaire très compétitif. Pendant son temps libre, elle réalise des projets scientifiques en lien avec la santé et les statistiques, monte des vidéos de cuisine, pratique le tir à l’arc avec son arc à poulies et écoute des comédies musicales. Ironiquement, elle a découvert le CNJ grâce à un projet scolaire.

Anjana Sudharshan (elle) adore collaborer avec des personnes partageant les mêmes idées qu’elle pour sensibiliser la population à l’importance de la santé mentale et du bien-être. Ses propres expériences et son travail dans le domaine de la recherche sur la santé mentale l’ont amenée à se joindre au CNJ pour créer des liens avec d’autres jeunes et les aider, et pour réduire la stigmatisation qui entoure la santé mentale. Anjana étudie dans le domaine des sciences de la vie à l’Université McMaster. Elle s’intéresse à la santé publique et à la communication scientifique. Elle souhaite continuer à soutenir des initiatives en santé mentale menées par des jeunes avec le CNJ afin d’améliorer l’accès et la sensibilisation aux ressources en matière de santé mentale, et de créer des espaces sûrs où les jeunes peuvent s’exprimer. Dans ses temps libres, elle aime observer les oiseaux et chanter.

Breanna Laggo espère un accès élargi, égal et abordable aux soins pour les groupes méritant l’équité, et a à cœur les jeunes, leur santé mentale et leur bien-être. En tant que futur·e enseignant·e, Breanna souhaite que les élèves de sa classe se sentent libres d’être qui il·elle·s sont, sans jugement. Breanna adore le café, les chiens et la création artistique.

Claire est profondément engagée dans la sensibilisation à la santé mentale, en partie en raison de son expérience personnelle en tant que jeune ayant été confronté·e·s à des enjeux de santé mentale. Pendant son parcours de rétablissement, elle a pris conscience des obstacles qui empêchent les jeunes d’accéder au soutien dont il·elle·s ont besoin. Cette prise de conscience l’a motivée à défendre les droits des autres personnes vivant des expériences similaires. Après l’obtention de son diplôme d’études secondaires, Claire poursuivra un baccalauréat en études du leadership avec une mineure en psychologie à l’Université du Nouveau-Brunswick. Dans sa communauté, elle est danseuse de compétition et assistante enseignante en danse, ce qui lui donne une perspective unique sur les défis de santé mentale auxquels font face les athlètes.

Il y a quelques années, lorsque Fazayl Zahra (elle) s’est impliquée dans le conseil étudiant de son école, elle a réalisé qu’une partie de la population étudiante faisait face à des obstacles pour accéder à des ressources en santé mentale dans sa petite collectivité rurale. Depuis, elle défend les personnes touchées par la disparité des ressources en santé mentale au pays. Elle a décidé de se joindre au CNJ, car c’était l’occasion idéale pour elle de mettre en valeur sa collectivité et d’avoir une influence à l’échelle nationale. En plus de militer en faveur de l’équité en santé mentale, Fazayl participe à d’autres initiatives liées à la santé et au bien-être, notamment en ce qui a trait à la nutrition et aux différences faciales. Fazayl parle couramment l’anglais et l’ourdou. Dans ses temps libres, elle aime jouer au basketball, lire et passer du temps avec ses oiseaux.

Ida Demair (elle) s’intéresse particulièrement à la psychologie des jeunes, aux douleurs chroniques, à la mauvaise prise en charge, ainsi qu’aux événements indésirables pendant l’enfance (ACEs). Elle espère poursuivre des études supérieures en psychologie clinique du développement pour réaliser son objectif de devenir psychologue pédiatrique clinicienne et soutenir les enfants et adolescent·e·s. Actuellement en 4^e année à l’Université de Guelph, elle étudie la psychologie avec une mineure en études familiales et infantiles. En plus d’être membre du CNJ, Ida travaille au Homewood Health Centre et au CAMH en tant que stagiaire en recherche. Elle est également membre du Youth Consultant Panel à l’Hôpital pour enfants de l’est de l’Ontario (CHEO) et du Early Lab de l’Université d’Ottawa. Elle souhaite approfondir ses connaissances sur les jeunes confronté·e·s à des défis en santé mentale grâce à ses recherches et son implication au CNJ.

James Ehiagwina (il) est profondément déterminé à changer les choses en ce qui concerne la santé mentale chez les jeunes dans sa collectivité. Il aspire à promouvoir le changement et à soutenir les nouveaux·elles arrivant·e·s au Canada qui vivent avec des problèmes de santé mentale. James a été stagiaire pour le Newcomer Youth Leadership Development Program du YMCA et membre du Youth Advisory Squad de OneChild. Il espère également devenir un défenseur de la jeunesse et un leader au sein du CNJ. James adore la lecture et la photographie. Il a récemment commencé à apprendre le piano.

Jorja Cain (elle) est Afro-néo-écossaise et a grandi à North Preston, en Nouvelle-Écosse. Elle aime voyager, nager et jouer au rugby. Élève de 12^e année, elle est l’une des capitaines de l’équipe de rugby de son école et a joué pour l’équipe féminine U17 des Keltics, qui a remporté la médaille d’or aux championnats de l’Atlantique de 2023. Jorja est également membre du conseil étudiant de son école, du comité de justice sociale et du comité des événements. Dans ses temps libres, elle enseigne à l’école du dimanche, est membre de la chorale des jeunes Noir·e·s de son église et est consultante bénévole auprès de la bibliothèque publique de Cole Harbour. L’été dernier, elle a participé au Nia Summit en tant qu’ambassadrice jeunesse et a reçu le Youth Award de la Commission des droits de la personne. En tant que membre du CNJ, Jorja souhaite faire connaître les expériences personnelles de membres de sa collectivité, générer des idées et sensibiliser la population. Elle espère aussi soutenir un plus grand nombre de personnes afro-néo-écossaises et de jeunes Africain·e·s, Caribéen·ne·s et Noir·e·s pour briser les stéréotypes liés à la santé mentale auxquels il·elle·s peuvent faire face.

Joshua Chooi (il) a pris conscience de l’importance du bien-être mental durant la pandémie de COVID-19. Alors qu’il vivait avec des problèmes de santé mentale, il a réalisé que ce sont les personnes avec lesquelles il a créé des liens et le réseau de soutien qu’il a constitué qui l’ont le plus aidé. Joshua s’est d’abord impliqué chez Jeunesse, J’écoute en tant que répondant aux crises bénévole pour le service de messagerie texte de l’organisme. Ce fut pour lui une expérience des plus enrichissantes. En tant que membre du CNJ, il aime apprendre et collaborer avec des personnes qui partagent les mêmes idées que lui. Actuellement étudiant universitaire en psychologie, Joshua espère participer à la recherche sur la santé mentale. Dans ses temps libres, il aime jouer au tennis, dessiner, écouter de la musique et prendre soin de ses chiens.

Kade Nolan (elle, il, iel), Anishinaabe-kwe de la Première Nation crie de Missanabie, a grandi à Brampton, en Ontario, et se rend chaque été sur la terre traditionnelle des Cris de Missanabie, dans le nord de l’Ontario, pour participer à des enseignements autochtones. Souhaitant servir sa communauté, Kade détient le grade de maître de 1^re classe des cadets de la Marine royale canadienne et a acquis de l’expérience en tant que membre d’équipage d’un grand voilier. À son école secondaire, Kade fait partie du programme de Majeure Haute Spécialisation (MHS) dans le secteur des arts et de la culture. Artiste, peintre et illustratrice, Kade se passionne pour la création artistique depuis l’enfance. Ses œuvres ont été présentées lors d’une cérémonie de vérité et de réconciliation organisée en 2023 à Brampton, et sont maintenant exposées à l’hôtel de ville de Brampton. Kade a également présenté ses œuvres à l’exposition d’art autochtone PIXEL, ce qui a contribué à renforcer son lien avec l’art et sa culture. Ses propres problèmes de santé mentale et son trouble de l’apprentissage lui ont fait prendre conscience de la stigmatisation qui peut toucher bon nombre de jeunes. Cette expérience a renforcé son objectif de défendre les intérêts des jeunes, leur santé mentale et leur bien-être. Kade milite en faveur de la communauté 2SLGBTQ+ et est membre du conseil de la jeunesse de la Première Nation crie de Missanabie.

Katherine a su qu’elle avait trouvé sa passion la première fois qu’elle a réconforté une jeune fille en pleurs dans les toilettes. Quelques mois plus tard, elle a cofondé un groupe appelé Good Samaritan et a commencé à créer des cartes pour les patient·e·s du service de psychiatrie de l’Hôpital Brampton Civic. Elle est maintenant bénévole au CNJ. Katherine est passionnée par l’amélioration des soins et souhaite révolutionner le système de santé pour le rendre plus inclusif, efficace et accessible aux personnes qui en ont le plus besoin. Pendant son temps libre, elle aime apprendre de nouvelles langues, faire du crochet et écouter sa liste d’écoute préférée.

Laetitia Satam (elle) a commencé son engagement en santé mentale à l’âge de 12 ans en faisant du bénévolat pour Jeunesse, J’écoute. Aujourd’hui, à 20 ans, elle est coprésidente du CNJ et coprésidente du conseil d’administration de Jeunesse, J’écoute. Elle est également membre du Cabinet de campagne de l’organisation. Ayant vécu partout au Canada, de la Colombie-Britannique jusqu’à Terre-Neuve-et-Labrador, Laetitia est inspirée par la nécessité de réduire les inégalités d’accès aux soins en santé mentale, notamment pour les communautés éloignées et les groupes en quête d’équité. Elle étudie actuellement la nutrition à l’Université de l’Alberta, avec une mineure en santé mondiale et un certificat en apprentissage international. Elle est passionnée par les liens entre la santé physique, sociale et mentale. Pendant son temps libre, elle aime faire du pain maison ou partir courir!

Maxine Joly-Chevrier (elle) est étudiante de deuxième année en médecine à l’Université de Montréal. Elle est membre bénévole du CNJ de Jeunesse, J’écoute depuis 2018. La santé publique, l’engagement communautaire et les technologies de rupture qui ont le potentiel d’optimiser les soins à la patientèle lui tiennent particulièrement à cœur. Maxine est la fondatrice et la présidente de « Et si on se racontait? », un programme intergénérationnel en partenariat avec l’organisme à but non lucratif Contact Aînés, qui vise à mettre en relation des personnes âgées et des jeunes par téléphone. Sur la base de ces échanges téléphoniques, un livre intergénérationnel est rédigé, imprimé et publié chaque année. Dans ses temps libres, Maxine aime faire du sport et des activités de plein air.

Might Gouta (il) étudie la philosophie à l’Université de Toronto. Il s’implique activement auprès d’organismes pour la jeunesse, ce qui lui a fait prendre conscience de la nécessité d’agir. En tant que joueur de rugby universitaire, il comprend certains des défis auxquels les athlètes peuvent faire face, ce qui le motive à parler de santé mentale dans l’espoir de donner aux autres les moyens d’agir. Might se consacre à construire des ponts et à résoudre certains problèmes au sein de la communauté sportive, entre autres. Son parcours en philosophie et en théologie l’a amené à réfléchir aux textes de la Bible, lui permettant d’adopter une approche holistique dans son travail de représentation. Désireux de changer les choses, Might est passionné par l’engagement communautaire et saisit toutes les occasions de créer des liens avec les autres. En plus du rugby, il aime prendre part à divers projets dans sa collectivité, apprendre et se détendre.

Otambek est un·e nouveau·elle membre du CNJ. Iel est ravi·e de faire partie de ce groupe et s’intéresse particulièrement au soutien et à la sensibilisation en santé mentale. Aider les autres a toujours été une valeur essentielle pour iel. Otambek a de grandes aspirations pour ce que le groupe peut accomplir et croit que, ensemble, chacun·e peut réaliser des choses incroyables. En dehors du CNJ, iel est passionné·e par plusieurs activités, notamment le bénévolat au YMCA, la pratique de sports, le cinéma et la lecture.

Ayant traversé la pandémie de COVID-19 alors qu’elle était jeune, Paniz Arbabi (elle) comprend bien les ravages qu’elle a causés chez bon nombre de jeunes et d’autres groupes démographiques. Cette expérience la motive à aider les autres autant qu’elle le peut, dans l’espoir que de plus en plus de personnes puissent obtenir le soutien dont elles ont besoin. Paniz a découvert Jeunesse, J’écoute par le biais d’une affiche à son école. Elle a communiqué avec l’organisme pour savoir s’il existait des occasions d’aider les autres et a décidé de se joindre au CNJ. Dans ses temps libres, Paniz s’adonne à l’art et au patinage artistique. Elle aime aussi s’entraîner et découvrir de nouvelles choses.

Raissa Amany (elle) est une activiste sociale primée, conférencière et consultante à l’échelle nationale. Forte de son expérience personnelle avec le système de santé mentale en Ontario, elle continue de plaider pour une meilleure accessibilité, plus d’équité et un engagement accru des jeunes dans ce domaine. Passionnée par les changements systémiques, elle est directrice générale de la Table ronde des jeunes Canadien·ne·s sur la santé, où elle dirige des efforts nationaux en faveur de la santé des enfants. En parallèle, elle occupe plusieurs postes de leadership, de recherche et de conseil, tant à l’échelle nationale que provinciale, dans les secteurs de la santé mentale et de la santé des enfants. Elle poursuit actuellement un baccalauréat en sciences de la santé à l’Université d’Ottawa. En reconnaissance de son engagement et de son impact, elle a récemment été nommée parmi les 25 femmes d’influence de 2024. Pendant son temps libre, vous la trouverez dans un atelier de poterie, en train de créer de nouveaux objets en argile sur son tour.

Ray Manji (il) est en première année d’un baccalauréat en commerce, avec une spécialisation en finance, à l’Université Queen’s. Pendant le secondaire, il a lancé plusieurs initiatives dans son école pour offrir davantage de soutien aux élèves, tant sur le plan physique que mental. Athlète depuis plus de 15 ans, il connaît bien les pressions et défis liés à la pratique d’un sport de compétition. C’est pourquoi il a mis en place plusieurs initiatives pour mieux accompagner les athlètes et avoir un impact positif. Pendant son temps libre, Ray aime aller à la salle de sport, regarder des événements sportifs et passer du temps avec ses ami·e·s.

Rukshika Krishnamoorthy (elle) est passionnée par la diversité culturelle. Elle a été témoin de racisme et noté la manière dont il peut affecter la santé mentale et le bien-être des gens. Elle souhaite soutenir les personnes faisant face au racisme afin de minimiser ses effets sur leur santé mentale et leur bien-être. À l’école, elle est présidente d’un club culturel, Zaga-Gon Cultural, qui met en lumière la diversité et permet aux gens de célébrer leur culture. Rukshika s’adonne à la danse, à la peinture et à la lecture. Elle pratique également une danse culturelle appelée Bharatanatyam et aime monter des mini-spectacles avec ses frères et sœurs.

Serena Bains (elle) veut aider à lutter contre la stigmatisation entourant la santé mentale et éduquer les autres à ce sujet, car elle a observé les effets des problèmes de santé mentale de nombreuses façons. En tant que personne de couleur, elle se consacre tout particulièrement à l’amélioration des services de santé mentale pour les personnes vivant dans des collectivités isolées et les membres de groupes méritant l’équité. Comme étudiante athlète, elle désire déstigmatiser les enjeux de santé mentale dans le sport, ce qu’elle promeut dans sa communauté locale. Ses œuvres d’art ont été exposées dans une galerie. Lorsqu’elle n’est pas en train de s’entraîner ou d’écouter de la musique, elle aime passer du temps avec ses amis.

Kafiya Mudey (elle) est née en Somalie et a grandi à Toronto. Une militante qui a contribué à l’organisation de Black Lives Matter à Vancouver, Kafiya a créé et organisé des événements tels que Know Your Rights, A Night of Black Magic et March on Pride. De concert avec la Hogans Alley Society, elle a également organisé des discussions et des visites artistiques. Kafiya s’intéresse vivement à la défense des droits, à la protection de la vie privée et des droits des personnes, aux arts et à bien d’autres sujets.

Lianne Hannaway (elle) est comptable professionnelle agréée (CPA), directrice financière chevronnée et investisseuse. Elle aide les propriétaires d’entreprises de première génération qui gagnent un revenu à six chiffres ou même plus (mais dont le compte bancaire ne reflète pas cette réalité) à parvenir à la liberté financière et à prendre le contrôle des finances de leur entreprise. Elle est membre du conseil d’administration et trésorière du Fonds Égalité, une alliance novatrice qui soutient les organisations de défense des droits des femmes et les mouvements féministes dans le monde entier grâce à un soutien de 300 millions de dollars du gouvernement canadien. Elle est également membre du conseil d’administration de Jeunesse, J’écoute, le seul service de soutien national offrant des conseils professionnels en ligne et par téléphone, ainsi qu’un soutien par messagerie texte assuré par des bénévoles aux jeunes de tout le Canada, en français et en anglais, 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Elle était auparavant associée consultante chez KPMG et a occupé divers postes de direction financière au sein du Groupe TMX.

Né au Ghana et élevé à Toronto, j’ai obtenu un baccalauréat en administration des affaires de l’Université York, avec une spécialisation en marketing. Fort de plus de 10 ans d’expérience dans des organisations des médias et de la technologie comme Rogers Sports & Media, St. Joseph Communications et Spotify, j’ai occupé des postes en marketing numérique, gestion de comptes et vente consultative. Chez Spotify, je co-dirige nos initiatives canadiennes en matière de santé mentale à travers notre groupe-ressource mondial Heart & Soul. Le mentorat au sein de la communauté Noire est une priorité pour moi, car je suis profondément conscient du manque de représentation Noire dans les espaces corporatifs, en particulier dans la publicité et les médias.

« Je suis passionné par la santé mentale et l’équité, et rejoindre le Conseil consultatif Noir de Jeunesse, J’écoute me permet de contribuer à relever les défis uniques auxquels les jeunes Noir·e·s font face pour accéder à un soutien culturellement pertinent. Je sais à quel point il est crucial d’avoir accès à des ressources en santé mentale qui reflètent et comprennent véritablement nos expériences uniques. »

Tee Garnett (iel) élabore depuis plus de 20 ans des services fondés sur l’équité et l’inclusion auprès de communautés et de programmes marginalisés. Toutes ses actions ont pour but de mettre en lumière les barrières systémiques intrinsèques. Son travail de cadre supérieur procure l’expertise nécessaire à l’accompagnement des dirigeants dans la gestion du changement, et son ouverture d’esprit avérée invite chacun à se sentir à l’aise, pris en compte et solidaire. Grâce à sa démarche d’équité transformationnelle, Tee apporte un soutien cognitif psycho-éducatif aux dirigeants qui souhaitent créer des lieux de travail plus équitables et plus sûrs.

Tout en poursuivant son diplôme en psychologie à l’Université de Windsor, Tyjondah a débuté sa carrière dans l’industrie du jeu en 1994 avec le Casino Windsor. Elle a rejoint OLG en 1999. Au cours de ses 25 années au sein d’OLG, Tyjondah a occupé des rôles de leadership progressifs.

Elle est actuellement directrice du développement et de la mise en œuvre des programmes au sein du Bureau de la durabilité communautaire et de la responsabilité sociale. Elle supervise la mise en œuvre des programmes PlaySmart d’OLG, visant à promouvoir le bien-être des joueur·euse·s et des pratiques de jeu sécuritaires.

En 2019, Tyjondah a reçu le Prix Vaike Murusalu Empowerment d’OLG. Son dévouement au leadership et à l’autonomisation des personnes pour atteindre leurs objectifs a toujours été sa force motrice dans chaque poste qu’elle occupe.

En 2020, Tyjondah a été reconnue comme l’une des 100 femmes noires accomplies du Canada par 100ABCwomen, sous la direction de l’honorable Jean Augustine.

En mai 2023, Tyjondah a reçu le Prix canadien d’équité, de diversité et d’inclusion du Women’s Executive Network, présenté par MLSE. Plus récemment, elle est devenue Catalyst Honours Champion, en reconnaissance de son rôle dans l’accélération de l’équité, de la diversité et de l’inclusion.

Elle est également présidente du conseil d’administration de BGC Peel et siège au Comité consultatif Noir *CCN) de Jeunesse, J’écoute.
Tyjondah est mariée, mère de deux enfants, et réside à Brampton, en Ontario.on diplôme en psychologie à l’Université de Windsor.

« J’ai rejoint le CCN pour faire partie d’une communauté qui soutient les jeunes Noir·e·s. En tant que mère de deux garçons Noirs, je veux m’assurer que l’amour que je leur donne soit également présent pour tous les jeunes Noir·e·s, afin qu’il·elle·s puissent devenir des membres actifs de nos communautés.

J’ai hâte de faire partie de quelque chose de plus grand que moi et d’apprendre aux côtés de cette merveilleuse communauté. »

Je suis une thérapeute agréée en counseling et je dirige une pratique qui soutient des personnes issues de divers horizons. Je siège actuellement au conseil d’administration de l’Association des thérapeutes par le jeu du Canada atlantique.

Je suis actuellement étudiant en troisième année en sciences infirmières à l’Université York. Je travaille à temps partiel avec l’équipe de Black Excellence de l’Université York en tant que leader mentor pair pour la réussite étudiante. Je fais également partie du Conseil national des jeunes de Jeunesse, J’écoute.

« Je suis passionné par le fait de rejoindre l’équipe du CCN pour défendre les intérêts des jeunes Noir·e·s à travers le Canada, promouvoir la sensibilisation à nos besoins en santé mentale, aborder les inégalités dans l’accès aux services et combattre les stigmas entourant la santé mentale dans nos communautés.Je suis enthousiaste à l’idée de mettre à profit ma voix et mes expériences pour influencer les décisions, initiatives et projets impactants lancés par Jeunesse, J’écoute, afin que les jeunes Noir·e·s soient non seulement représenté·e·s, mais aussi inclus·e·s, valorisé·e·s et reconnu·e·s à chaque étape du processus. »

Je suis un élève de 11e année à la Notre Dame College School. Je suis membre du conseil des jeunes de l’initiative Voix diverses, même message, qui réunit des jeunes Noir·e·s et autochtones pour sensibiliser à la diversité culturelle du Canada, lutter contre le racisme et favoriser l’inclusivité et la compréhension.

« Je vois de mes propres yeux, à l’école et en dehors, que de plus en plus de mes pair·e·s ont des difficultés avec leur santé mentale. Beaucoup ont peur de l’admettre et de demander de l’aide. Je souhaite que ce ne soit pas le cas, et en rejoignant le Conseil consultatif Noir, j’espère sensibiliser à la santé mentale afin que celles et ceux qui ont besoin d’aide, en particulier les jeunes, soient ouvert·e·s à chercher du soutien et sachent comment y accéder. »

Je suis née à Lagos, au Nigeria, et j’ai immigré au Canada avec ma famille à l’âge de 12 ans. Actuellement, je suis étudiante de premier cycle à l’Université de l’Alberta, où je poursuis un baccalauréat ès sciences en neurosciences avec mention honorifique.
J’ai toujours été fortement intéressée à soutenir les personnes marginalisées dans la communauté grâce à la défense des droits et à l’engagement communautaire. Ce désir m’a amenée à faire du bénévolat avec The Mustard Seed (TMS), où j’aide les personnes en situation d’itinérance. J’agis également en tant qu’ambassadrice de TMS et contribue à sensibiliser à la question de l’itinérance dans notre communauté.
Je suis aussi tutrice et directrice bénévole pour Help Young Minds (HYM), une organisation qui vise à offrir des ressources éducatives gratuites à celles et ceux qui en sont autrement privé·e·s en raison de leurs circonstances socio-économiques. Enfin, je suis répondante aux crises pour la ligne Jeunesse, J’écoute. Dans ce rôle, j’utilise ma passion pour promouvoir la santé mentale et le bien-être afin de soutenir les autres pendant une période de crise.

« Ma passion pour la promotion de la santé mentale et du bien-être m’a poussée à rejoindre le Conseil consultatif Noir (CCN). En tant qu’immigrante de première génération, je reconnais le stigma entourant la santé mentale au sein de la communauté Noire. J’espère travailler aux côtés des autres membres du CCN pour aider à surmonter les barrières systémiques qui empêchent les jeunes Noir·e·s de demander du soutien.

J’ai hâte de contribuer à sensibiliser aux ressources disponibles en matière de santé mentale et d’aider à autonomiser et soutenir les jeunes Noir·e·s dans leur parcours vers le bien-être. »

Je suis titulaire d’un diplôme en psychologie avec une mineure en études féminines et de genre de l’Université du Manitoba. J’ai fait du bénévolat pour diverses organisations au Manitoba, comme le Congress of Black Women MB, Black History Manitoba, Equal Voice MB, Winnipeg Story Slam et bien d’autres.

Pendant mes études universitaires, je me suis impliquée dans la défense des droits et la gouvernance étudiante, où j’ai siégé à l’Union des étudiant·e·s de l’Université du Manitoba pendant trois ans, devenant présidente et membre du conseil d’administration de l’Université du Manitoba.

Je travaille actuellement comme analyste en politiques.

« J’ai toujours été passionnée par la santé mentale, en particulier celle des personnes Noires. Cela représente une occasion de vraiment utiliser mon diplôme pour redonner à ma communauté et bâtir une génération qui n’a pas peur de se mettre, ainsi que leur santé mentale, au premier plan. Plus important encore, une génération qui n’a pas peur ni trop stigmatisée pour recevoir l’aide dont elle a besoin!

J’ai hâte de travailler sur des projets impactants avec de nouveaux coéquipier·ère·s formidables au sein du conseil. »

En mai 2023, TyjonTanya Hayles est une conteuse créative primée qui allie stratégie numérique et impact social à l’intersection de la marque et de la communauté.

Elle a fondé Black Moms Connection, un village mondial en ligne de 40 000 membres et un organisme national à but non lucratif.

Ses écrits peuvent être retrouvés sur CBC, Global TV, CityNews, Globe and Mail, CityLine, Toronto Star et Today’s Parent.

Elle a été sélectionnée comme l’une des 25 femmes les plus influentes du Canada et nommée lauréate du prix L’Oréal Femme de Valeur.dah a reçu le Prix canadien d’équité, de diversité et d’inclusion du Women’s Executive Network, présenté par MLSE. Plus récemment, elle est devenue Catalyst Honours Champion, en reconnaissance de son rôle dans l’accélération de l’équité, de la diversité et de l’inclusion.

« En 1997, j’étais une ambassadrice étudiante au secondaire pour Jeunesse, J’écoute. En 2015, j’ai créé Black Moms Connection. Relier les points entre le soutien aux enfants et aux mamans grâce à une organisation qui a toujours été une constante dans ma vie est un honneur. »

Ayan Absiye est une Canadienne-Somalienne de première génération et une chercheuse passionnée en politiques publiques, dédiée à la création de politiques gouvernementales inclusives et adaptées. Elle est étudiante en quatrième année à l’Université de Toronto, où elle se spécialise en sciences politiques avec des mineures en études africaines et en histoire.

Le travail d’Ayan vise à amplifier les voix des minorités dans l’élaboration des politiques grâce à la recherche et à la sensibilisation. Elle a travaillé au Bureau du Premier ministre du Canada ainsi qu’auprès de la ministre des femmes et de l’égalité des genres, contribuant à des initiatives politiques majeures. En tant que boursière en politiques publiques 1834 avec Operation Black Vote Canada, elle a mené des recherches sur les défis liés au logement pour les réfugié·e·s et demandeur·euse·s d’asile noir·e·s. Elle a également collaboré avec la ONE Campaign, contribuant à l’engagement du Canada envers le Fonds mondial pour lutter contre les maladies évitables en Afrique.

À l’échelle internationale, Ayan a pris la parole au Forum permanent des Nations Unies sur les personnes d’ascendance africaine à Genève pour aborder la discrimination systémique, les inégalités économiques et l’accès à la justice, plaidant pour des réformes politiques mondiales. Au niveau municipal, elle a occupé le poste de responsable de l’équipe média au sein du groupe de travail sur l’éducation du Cabinet des jeunes de Toronto. Dans ce rôle, elle a défendu un système éducatif plus équitable, dirigé des efforts de sensibilisation pour une enquête provinciale sur la santé mentale des jeunes et contribué à une campagne réussie pour l’équité des genres visant à combattre la précarité menstruelle, obtenant ainsi la distribution gratuite de produits menstruels dans les écoles de l’Ontario.

En dehors de son engagement en politiques publiques et dans la communauté, Ayan est l’ancienne présidente de l’African Studies Course Union à l’Université de Toronto et lauréate du Black Excellence Award pour ses recherches et son activisme. Son objectif principal est de s’assurer que les voix des minorités ne soient pas seulement entendues, mais qu’elles jouent un rôle central dans la définition des politiques à tous les niveaux, en particulier parmi les jeunes.

 « J’ai rejoint le Conseil Consultatif Noir, car je crois qu’aucun·e jeune ne devrait avoir à lutter seul·e, surtout en matière de santé mentale. Trop souvent, les jeunes Noir·e·s font face à des barrières systémiques, à une stigmatisation culturelle et à un manque de représentation, ce qui rend plus difficile l’accès au soutien. Je sais à quel point il est essentiel de se sentir vu·e, entendu·e et compris·e par des personnes qui partagent nos expériences vécues. En faisant partie de ce conseil, je veux contribuer à surmonter ces obstacles, à remettre en question la stigmatisation entourant la santé mentale dans nos communautés et à créer des espaces sécuritaires où les jeunes se sentent légitimes à demander de l’aide. J’ai hâte de collaborer avec les membres du Conseil Consultatif Noir pour ouvrir des discussions importantes et veiller à ce que les jeunes Noir·e·s partout au Canada aient accès au soutien qu’il·elle·s méritent pleinement. »